1) Décès de Brigitte Gondet, ingénieure à l’lAS
Nous avons l’immense tristesse de vous faire part du décès de Brigitte Gondet, emportée par une maladie foudroyante le 6 Mars. Ingénieur à l‘lAS, Brigitte avait rejoint le CNRS en 1981, au LPSP à Verrières, après un DEA en 1978 en astrophysique et mécanique céleste à Paris-6, puis une thèse de doctorat en 1980 sous la direction de J.E Blamont, après une solide formation en mathématique. Elle a assisté à la naissance de l'IAS et l'a rejoint dès sa création en 1989 dans l'équipe de planétologie de Jean-Pierre Bibring.
Que ce soit à Verrières, ou à Orsay, Brigitte a contribué à de nombreux programmes d’exploration spatiale du système solaire, depuis l'instrument IKS sur les sondes VEGA qui ont survolé le noyau de la comète de Halley en 1986, jusqu'à l'analyse par l’instrument MicrOmega des échantillons rapportés par la mission Hayabusa 2, en passant par la caméra HMC sur la sonde Giotto, ISM sur la sonde Phobos qui a fourni en 1989 les premières images hyperspectrales dans le proche infrarouge de Mars et de Phobos, les instruments OMEGA et VIMS respectivement sur Mars 96 puis Mars Express et Cassini, et ChemCam sur MSL. Son activité s’est focalisée sur l’étalonnage de ces instruments, les opérations en vol puis le traitement des données acquises.
Tout particulièrement, Brigitte a assumé la responsabilité de la programmation et du suivi des opérations de l'instrument OMEGA sur Mars Express, qui est en opération depuis 2004 et dont Brigitte fut Chef de Projet depuis 2012 jusqu’à son décès. Elle a assuré le développement du pipeline et la génération de produits scientifiques diffusés à la communauté, pour l’optimisation de leur exploitation scientifique. Son expertise technique et scientifique hors norme a également été mise en œuvre dans la préparation et l'exploitation des instruments CIVA et VIRTIS sur Rosetta, lors de la formidable exploration de la comète 67/Tchourioumov – Guérassimenko en 2014. Jusqu’à son dernier souffle, elle a contribué au dépouillement des données acquises par MicrOmega dans l’enceinte même de « curation » des grains rapportés de l’astéroïde Ryugu par la sonde Hayabusa2.
Dotée d’un caractère de forte personnalité, Brigitte avait ainsi tissé des liens de coopération scientifique, technique et d’amitié extrêmement forts, faits d’enthousiasme et d’engagement rares, avec de nombreux acteurs de nos communautés, chercheurs et ingénieurs, en France et à l’étranger, et notamment : au Service d’Aéronomie, au LATMOS qui lui a fait suite, au DESPA puis au LESIA, au LMD et à l’IRAP, à l’IKI de Moscou et à l’IAPS de Rome/Frascati, à l’ESTEC et l’ESAC... L'IAS et ses amis au sein des autres laboratoires de notre communauté viennent de perdre un membre de leur famille et une de leurs étoiles.
Jean-Loup Bertaux, Franck Montmessin et Jean-Pierre Bibring
2) Ecole thématique ARIEL & PNP : Exo-Atmosphères | 12-23 septembre 2022 | Ecole de Physiques des Houches
Les inscritptions sont ouvertes jsuqu'au 31 mars 2022 pour l'Ecole thématique Exo-Atmopshère organisée conjointement par le consortium ARIEL-France et le PNP.
Les pré-inscriptions se font sur le site https://exo-atmospheres.sciencesconf.org/
Le paiement des frais d'inscription se fera ultérieurement, après acceptation de l'inscription, sur le site de conférences Colloque-Azur: 450€ pour les doctorants et 650€ pour les pots-doctorants et les permanents. Plus d'informations sur le site.
Résumé
Les deux dernières décennies ont été les témoins d'une révolution dans notre compréhension des systèmes planétaires et de la façon dont notre Système Solaire s’insère dans le contexte plus général des exoplanètes. Plus de 3000 systèmes exoplanétaires ont été découverts, avec une grande variété de plus de 4000 exoplanètes. Si les recherches se sont d’abord focalisées sur les “Jupiter chauds" et les planètes de type terrestre, une surprise a été que la majorité des planètes détectées présentent un rayon entre la Terre et Neptune, d’un type non représenté dans notre Système Solaire.
Ces planètes baptisées « transitionnelles » peuvent avoir soit un coeur rocheux entouré d’une enveloppe gazeuse d’hydrogène et d’hélium, ou bien contenir une enveloppe épaisse de glaces et fluides à dominance d’eau. Les spéculations sur leur nature, leur composition chimique, leur régime dynamique et l’histoire de leur formation sont nombreuses, mais les réponses sont actuellement peu nombreuses. Face à cette situation, les agences nationales et internationales ont déployé ou préparé des missions spatiales et des instruments dédiés à la caractérisation des exoplanètes et l’étude de leurs atmosphères. L’objectif est de permettre des avancées sur la compréhension de la formation et l’évolution planétaire, et comprendre pourquoi notre Système Solaire est si particulier. Il s’agit clairement d’un des sujets majeurs de la communauté astrophysique, et un guide prioritaire dans la conception de futurs instruments.
Objectifs scientifiques de l'école
Les difficultés rencontrées pour l’étude par spectroscopie des exoplanètes sont nombreuses, et les défis pour réussir ces avancées des connaissances sont nombreux : l’extraction d’un signal très faible dans les données d’observation, les techniques observationnelles pointues et la modélisation numérique couplée de la structure chimique et dynamique confrontent la communauté astrophysique à des obstacles importants en analyse des données, en chimie théorique et expérimentale et en spectroscopie, ou en dynamique des fluides. Cet aspect interdisciplinaire très riche a ralenti la progression des connaissances, une approche parcellaire par discipline ne permettant pas d’appréhender la complexité intriquée de tous les phénomènes en jeu. L’objectif de cette école thématique qui réunira les spécialistes de ces disciplines est de fournir à toute une nouvelle génération de scientifiques les bass théoriques, les méthodes et les outils qui leur permettent de s’attaquer à ces problèmes.
Objectifs de formation
L’école de physique des Houches, fondée en 1951, offre une structure bien rodée dans le paysage de la physique française depuis 1951, dédiée à l’approfondissement dans de nouveaux domaines à des étudiants avancés ou de jeunes chercheurs. Les aspects de recherche et de formation prévus pour cette école concernent la préparation de la communauté française et internationale à l’interprétation de nouvelles données en physique des atmosphères des exoplanètes, dans le cadre de nouveaux instruments (ELT, JWST, Ariel) qui ouvriront une nouvelle fenêtre sur la connaissance des exoplanètes. Le dispositif de l’école des Houches est particulièrement adapté à ces nouveaux territoires des connaissances, avec le partage entre cours magistraux et travaux pratiques tournés vers l’expérimentation et sa préparation. La variété des domaines concernés permettra de réunir en un même lieu un creuset de formations variées, bien adaptées pour la préparation à de futures observations. La durée de l’école (12 jours) a été décidée en fonction de la large palette de thématiques couvertes dans le domaine interdisciplinaire de exoplanètes, qui nécessite un temps relativement long pour une assimilation optimale des connaissances.
3) Solar System Science with the ELTs | April 28, 2022 (online) and June 13-15, 2022 (in a hybrid format) | Garching, Germany
We are pleased to announce the conference “Solar System Science with the ELTs” which will take place on April 28, 2022 (online) and June 13-15, 2022 (in a hybrid format) at ESO Headquarters in Garching, Germany.
“Solar System Science with the ELTs” is the first meeting of a three-part conference series “Extremely Big Eyes on the Solar System” which will take place in Europe (Spring 2022), North America (Fall 2022) and Asia (Spring 2023). This conference series aims to provide a forum where international experts will review the current questions in Solar System science and discuss how best to use the ELT, GMT and TMT to address them in synergies with current and future observing facilities and space missions.
“Solar System Science with the ELTs” will consist of two parts and focus on ESO’s ELT unique capabilities to address the open questions in the diverse subfields of Solar System science. A special emphasis will be put on how the ELT, alongside with the GMT and TMT will fit into the rich landscape of ground- and space-based facilities, in particular with the ongoing and future ESA missions.
In the first, fully virtual, technical session scheduled for April 28, 2022, ELT instrument experts will present the capabilities of the instruments for Solar System observations. Following, all presentations will be made available via a dedicated Zenodo collection solsyselts2022. This collection will serve as a basis for the second, scientific, main part of the conference, taking place in hybrid mode from June 13-15, 2022. Participation in the second part of the conference will be possible either virtually via MS Teams or locally on-site.
To enable a lively exchange, a dedicted Slack channel SolSysELTs2022 will be made available. Discussion on Slack will start shortly after the first, technical part of the conference, in early May, in preparation for the second, scientific part of the conference in June. In addition, the conference will have the Twitter hashtag #SolSysELTs2022 to encourage live tweeting.
For the second part of the conference, speakers will be encouraged to use the conference materials emerging from the April workshop to develop further their ideas of the specific contribution of the ELTs to their field of research. These ideas, alongside with talks reviewing the state-of-the-art knowledge in the different subfields of planetary science, will then be presented during the second, main part of the conference.
There will be no registration fee for participation in the conference. To ensure a smooth conference and adequate organisation, we still kindly ask all participants who register to inform the LOC in time before the conference in case of non participation.
If you wish to receive future information on the conference, please fill in the registration forms, for the first, technical part in April and/or for the second, scientific part in June.
4) Postdoctoral Research position within the Labex LIO at Observatoire de Lyon, France.
The objective of our this project is the study of TNOs which are tracers of the formation and evolution of planetary systems: they have a privileged link with planetary migration, and the origins of pre-biotic materials on Earth, and their dispersion in the solar system. Finally, the study of TNOs will bring direct constraints on the gaseous composition of protoplanetary disks, which will be studied in parallel in our team. The post-doctoral position is dedicated to research on small body populations focused particularly on applying (and developing) advanced data processing tools to access the faint signals from TNO satellites. The postdoc position aims to 1- revisit these observations and all existing archival SPHERE TNO data (about a dozen objects) by using new data analysis techniques developed by our team, 2- apply the new data analysis techniques to JWST Data 3- detect, characterize and fit the orbit of TNO satellites and surrounding material like rings, 4- estimate the mass of the systems, 5- use publicly available sizes from Spitzer and Herschel programs to derive the density of the TNOs primaries themselves, which is critical to constrain the formation and the evolution of these systems.
The candidate will collaborate with M. Langlois and A. Guilbert-Lepoutre and as a consequence will share workspaces between CRAL and LGL.
The position is available for two years, starting anytime between Sept. 01, 2022 and Dec. 01, 2022. Applications are welcome until Apr. 1, 2022.
Applicants should send a brief statement, including date of availability, CV and publication list.
Contacts:
Maud Langlois (Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.) et Aurélie Guilbert-Lepoutre (Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.)
More informations available at: https://lio.universite-lyon.fr/recrutements/postdoctoral-position-search-and-characterisation-of-co-orbital-bodies-to-tnos-cral-umr5574-et-lgl-tpe-umr5276--249404.kjsp?RH=JOB1517919584021
5) Post-Doc position | Old Dominion University
There is a post-doc position open in our group to work on NASA funded projects including aerosol modeling using satellite spectra, collision-induced absorption spectra of N2-CH4 mixtures for Titan’s atmosphere, high temperature absorption spectra/cross sections for TiO and VO for exoplanets, infrared electronic transitions of NaO and LiO, hydrocarbon spectra for Titan and the giant planets.
If you know of someone qualified, please encourage them to contact us with their cv.
Prof. Peter F. Bernath Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Eminent Scholar
Department of Chemistry & Biochemistry
Old Dominion University
4541 Hampton Boulevard
Norfolk, VA 23529-0126
6) Poste Maître de conférénces - Université d'Orléans affecté au LPC2E _ Recherche Planétologie, Astrochimie et Instrumentation spatiale
Un poste d’enseignant-chercheur.se (MCF) est ouvert au concours cette année au LPC2E sur la thématique Planétologie, Astrochimie et Instrumentation spatiale.
L’enseignement sera dispensé en chimie analytique et physique (section 31) à l’Observatoire des Sciences de l’Univers d’Orléans (OSUC) et à l’IUT-chimie analytique BUT 1ère . 3ème année en formations initiale et en alternance.
Le poste est paru sur le site GALAXIE et sur le site de l’Université d’Orléans (31MCF0671_4508_0_pdf)). La clôture du dépôt des dossiers est le 31 mars 2022.
https://www.galaxie.enseignementsup-recherche.gouv.fr/ensup/cand_postes_GALAXIE.htm
Pour rappel la qualification à une section ouvre le droit à postuler dans toutes les sections.
Pour tout renseignement supplémentaire contacter Christelle Briois 02.38.25.52.62 / Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
7) Poste Maître de conférénces - Université de Lille
Études des propriétés physico-chimiques de systèmes complexes d’intérêt atmosphérique ou astrophysique à haute résolution, avec des instrumentations innovantes.
Depuis une quinzaine d’année, la spectroscopie moléculaire à haute résolution est une discipline qui s’est tournée résolument vers l’étude de systèmes complexes avec une approche à la fois quantitative et mettant à profit une modélisation de physique quantique au meilleur état de l’art. Elle joue un rôle majeur dans les sciences du climat et de l’espace. Elle répond aux défis sociétaux respectueux de notre environnement avec le développement de capteurs. Ce thème s’inscrit dans le cadre des technologies quantiques et dans Horizon Europe comme l’atteste les attributions récentes de financements ERC sur ces sujets : 2014 (J. Cernicharo, CSIC Madrid, « Nanocosmos : Gas and Dust from the Stars to the Laboratory: Exploring the NanoCosmos ») ; 2017 (C. Cecarreli, Université de Grenoble, « DOC : The Dawn of Organic Chemistry ») ; 2018 (F. Lique, Université du Havre « COLLEXISM : Excitation collisionnelle des molécules interstellaires : vers les systèmes réactifs »)
Le groupe de spectroscopie développe des projets scientifiques ambitieux, basés sur des instrumentations innovantes, uniques en France. Leur groupe est leader en France et au meilleur niveau international en spectroscopie moléculaire. Il a su construire un solide réseau de collaboration scientifique avec les principaux acteurs internationaux, en France (LPENS/Paris, ISMO/Orsay, SR SOLEIL/St Aubin), en Europe (ICMM/CSIC, Madrid ; King’s College, Londres ; Max Planck Institute, Bonn) et aux Etats-Unis (Jet Propulsion Laboratory – NASA, NRAO-NSF). Les récentes détections de nouvelles molécules obtenues via les premières observations "ALMA" montrent l’importance de nos études pour la communauté astrophysique : le N-méthyl formamide (Belloche et al., Astron. Astrophys., 601, A49, 2017, le doublement substitué 13C de l’éthyl cyanide (Margulès et al., Astron. Astrophys., 590, A93, 2016, le méthoxyméthanol (Mc Guirre et al., ApJL, 851, 2, 2018). En particulier la récente découverte de méthoxyméthanol montre qu'il est environ 34 fois moins abondant que méthanol (CH3OH), et significativement plus abondant que prévu par les modèles astrochimiques. Ces détections permettent d’améliorer significativement la modélisation des processus de formation des molécules
organiques complexes.
Les projets du groupe de Spectroscopie sont orientés dans deux directions, très complémentaires dans les approches
méthodologiques :
- Science pour une planète en mutation : il s’agit de comprendre les propriétés physico-chimiques de composés organiques volatils biogéniques ou de composants traces, pour mieux expliquer la chimie atmosphérique. Les résultats récents ont fait l’objet d’un communiqué de presse aux Etats-Unis ;
- Astrophysique de laboratoire : le groupe poursuivra sa contribution en qu’équipe référente pour les domaines centimétrique et millimétrique en France aux projets liés à l’astrochimie. Les résultats récents ont fait l’objet de publications à hauts facteurs d’impact, et les projets actuels relèvent des observatoires internationaux ALMA et NOEMA.
La qualité des travaux du groupe se reflète via un nombre conséquent de publications : 77 publications de rang A sur la période 2013-2018 avec 36% de ces publications ayant un Facteur d’impact supérieur à 5 ce qui est élevé dans le domaine de la physique moléculaire. La recherche d’excellence de notre groupe est constante comme l’atteste le « press release de 2017 » (https://publishing.aip.org/publishing/journal-highlights/molecular-structure-forest-aroma-deconstructed). En 2020, un article a été placé en couverture : Roucou, A., et al. ChemPhysChem. Vol 21, issue 22, 2523, 2020., et enfin un article a été publié dans la prestigieuse revue Nature (S. Alighanbari, G. S. Giri, F. L. Constantin et al., May 2020, Nature, 581, p152).
La personne recrutée permettra d’apporter de nouvelles compétences dans l’axe science pour une planète en mutation de l’Isite ULNE, notamment dans la physicochimie de l’atmosphère terrestre, processus hétérogènes d’intérêt environnemental mais aussi sur l’astrophysique de laboratoire
8) ESA job offer: BepiColombo Science Operations Scientist, deadline 31 March
https://jobs.esa.int/job/Madrid-Science-Operations-Scientist-ESAC/780536901/
9) Research Associate in Planetary Science | University of Leicester
The School of Physics and Astronomy at the University of Leicester invites applications for a Research Associate in Planetary Science. You will join the University of Leicester Planetary Science Group in research funded by the group’s STFC consolidated grant.
This project will use ground-based infrared astronomical observations of the giant planets produce the first-ever long-term auroral current maps organized by local time and planetary phase, allowing a new depth of understanding on how gas giant aurorae are generated. In turn, this will provide vital evidence that will help us answer these key questions that remain unanswered following the Cassini and Juno space missions:
1. What drives Jupiter’s main emission, and why is it so dependent upon local time?
2. What processes control Jupiter’s polar aurora, and why do they switch off at night?
3. Does the atmospheric vortex that drives Saturn’s weather-driven aurora vary over time and can we better constrain the neutral winds that drive this system?
You will contribute to the overall research programme by working to develop innovative data analysis techniques; by proposing for, planning and conducting ground-based telescope campaigns; and helping to steer the direction of our ongoing research aims. will be expected to carry out independent and collaborative research for these projects and disseminate the results to the international scientific community.
With a PhD (or shortly to hold) in a research area relevant to space plasma physics or planetary science, alongside existing skills in planetary data analysis and modelling, you will have a record of productive research a relevant area with the ability to produce published research papers. You will have Computer programming skills and the ability to program in scientific computing languages such as IDL, FORTRAN and Python, an ability to plan your work effectively and excellent problem-solving skills.
Informal enquiries are welcome and should be made to Dr Tom Stallard on Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.